Carbon gas storage cavern is the best way to obtain clean energy from a fossil fuel

by Charles the moderator, February 13, 2019 in WUWT


The Research Center for Gas Innovation is developing technology to separate CO2 and methane in oil and gas exploration and store it in offshore salt caverns

Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo

A set of technologies that is expected to have its first results four years from now is designed to resolve one of the world’s greatest oil and gas exploration challenges today: carbon dioxide (CO2) and methane (CH4) emission in the atmosphere.

The innovation, the result of a patent deposited in 2018, consists of injecting the CO2 and CH4 that comes from wells during oil extraction into salt caverns as a way to reduce the amount of carbon gas in the emissions.

Analysis Finds Oceans Have Become LESS ‘Acidic’ With Rising CO2, Challenging The ‘Acidification’ Narrative

by K. Richard, February 14, 2019 in NoTricksZone


A modest long-term (1800s-present) declining trend in ocean pH values predominantly occurred prior to 1930, or before anthropogenic CO2 emissions began rising precipitously. Since 1930, seawater pH trends have risen slightly, meaning sharply rising CO2 has been coincident with less, not more, ocean “acidification”

 

I

Image Source (lower graph): Wei et al., 2015

 

 

Le réchauffement climatique d’origine anthropique

by G. Geuskens, 14 février 2019, in ScienceClimatEnergie


Le climat peut changer, comme il l’a toujours fait et continuera à le faire sous l’action de variables naturelles. Les activités humaines peuvent-elles avoir une influence comme le prétend la théorie du réchauffement climatique d’origine anthropique ? Cette théorie est basée sur l’existence d’un hypothétique effet de serre défini comme un phénomène radiatifcausé par des gaz tels la vapeur d’eau ou le CO2 qui absorbent une fraction du rayonnement infrarouge émis par la Terre et le réémettent  ensuite dans toutes  les directions et notamment vers la surface terrestre dont la température serait, de ce fait, plus élevée qu’en l’absence de gaz absorbant l’infrarouge. L’effet de serre résulterait donc essentiellement de l’émission par les molécules de CO2 d’un rayonnement  de fluorescence  dans le domaine infrarouge [1]. Cette définition est claire et scientifiquement valable car conforme au principe de réfutabilité défini par Karl Popper. Nous l’examinerons à la lumière de théories physiques bien établies et de faits expérimentaux connus.

1. Le CO2 dans les basses couches atmosphériques