by Le Vif, 31 octobre 2017
Les scientifiques en déduisent que le réchauffement global actuel pourrait potentiellement être “sans précédent” sur les 100 derniers millions d’années. L’étude de ces géochimistes, publiée dans Nature Communications, constitue une sorte de pavé dans la mare des paléoclimatologues qui utilisent depuis les années 1950 ce “paléothermomètre” aidant à bâtir les modèles actuels sur le réchauffement climatique