Istvan Marko, le scientifique qui aimait le CO2

by A. Préat et al., 22 janvier 2018, in Arguments


Ce numéro spécial de la revue “Arguments” est dédié à la mémoire d’István Markó, professeur à  l’UCL, décédé inopinément en août 2017. Au cours des dix dernières années cet éminent scientifique a consacré toute son énergie et utilisé ses très grandes compétences à l’analyse des données expérimentales et théoriques concernant l’évolution du climat pour arriver à la conclusion que la théorie du réchauffement climatique d’origine anthropique était non fondée. Toute cette théorie aux conséquences politiques, économiques et sociales gigantesques repose sur une seule et fragile hypothèse : le CO2 renverrait vers la Terre une partie du rayonnement qui devrait s’échapper vers le vide interplanétaire et il en résulterait une élévation de température. Or, il n’existe aucune preuve scientifique liant un réchauffement climatique à une augmentation de la teneur en CO2 dans l’atmosphère.

Emergent constraint on equilibrium climate sensitivity from global temperature variability

by P.M. Cox et al., January 18, 2018 in Nature


Equilibrium climate sensitivity (ECS) remains one of the most important unknowns in climate change science. ECS is defined as the global mean warming that would occur if the atmospheric carbon dioxide (CO2) concentration were instantly doubled and the climate were then brought to equilibrium with that new level of CO2.

(…)

This metric of variability can also be calculated from observational records of global warming3, which enables tighter constraints to be placed on ECS, reducing the probability of ECS being less than 1.5 degrees Celsius to less than 3 per cent, and the probability of ECS exceeding 4.5 degrees Celsius to less than 1 per cent.