GREENLAND’S SMB GAINED 6 GIGATONS YESTERDAY + NORTHERN HEMISPHERE SNOW MASS SITTING AT 500 GIGAGTONS ABOVE THE NORM

by Cap Allon, March 29, 2020 in Electroverse


Despite decades of doom-and-gloom prophecies, Greenland’s Ice Sheet is currently GAINING monster amounts of “mass”— 6 gigatons yesterday alone (March 28, 2020).

Crucial to the survival of a glacier is its surface mass balance (SMB)–the difference between accumulation and ablation (sublimation and melting). Changes in mass balance control a glacier’s long-term behavior, and are its most sensitive climate indicators (wikipedia.org).

On the back of substantial SMB gains over the past few years, the Greenland ice sheet looks set to continue that trend in 2019-20. On March 28, 2020, the world’s largest island added a monster 6 gigatons to its ice sheet. According to climate alarmists, this simply shouldn’t be happening in a warming world. In fact, it might as well not be happening–developments like this NEVER receive MSM attention, meaning alarmists are NEVER privy to the full and unalarming picture…

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In addition, Total Snow Mass for the Northern Hemisphere continues to track WELL-above average with the latest data point (March 27) seeing NH snow at a staggering 500+ gigatons above the norm—another real-world reality we were told should be an impossibility by now: IPCC 2001: “Milder winter temperatures will decrease heavy snowstorms…”

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Les idéologues de l’hystérie climatique vus à l’ombre du Coronavirus

by Samuel Furfari, 26 mars 2020 in LaTribune


OPINION. Il semble morbide et cynique, alors que des milliers de personnes meurent du Coronavirus, d’insister en ce moment sur l’impérieuse nécessité d’agir contre le changement climatique. Pourtant, des idéologues, qui sont aussi et surtout ceux de la remise en cause de l’économie de marché, osent le faire. Ils ne ratent aucune occasion d’essayer de faire croire que le changement climatique cause ou exacerbe cette crise. Il est nécessaire de les dénoncer pour préparer l’avenir. Par Samuel Furfari, Professeur à l’Université Libre de Bruxelles et Président de la Société Européenne des Ingénieurs et Industriels.

Un climatologue français semble regretter que « ce qu’on fait pour le Coronavirus, c’est deux ans de financement climat » car, d’après lui, si on dépense de l’argent pour sauver des vies, on pourrait tout aussi bien redoubler d’effort pour sauver la planète. Un climatologue belge a eu l’outrecuidance de tweeter à la Première ministre belge et à son vice-Premier ministre en charge du budget qu’ils profitent de cette crise pour introduire une taxe sur l’énergie : « #Covid_19 : C’est le bon moment pour instaurer une vraie taxe CO2 sur les carburants, le mazout [fioul en Belgique] et le gaz fossile. Leur prix ayant fortement baissé, ce sera indolore. Cela permettra de dégager des ressources pour compenser les effets de la crise. » Sur Facebook, ce membre éminent du GIEC s’est fait traiter de « charognard », entre autres épithètes. En pleine crise, « presque hilare », un commentateur politique bien connu a apprécié que ce « virus révolutionnaire » empêchait la privatisation des aéroports de Paris et  s’en est pris aux « banques mondiales [qui] échouent lamentablement face à la crise climatique en injectant des billions dans les combustibles fossiles».