by Steve McIntyre, April 2017, Climate Audit
A great synthesis very useful and impressive, well argued. From 1998 until today.
by Steve McIntyre, April 2017, Climate Audit
A great synthesis very useful and impressive, well argued. From 1998 until today.
by Bjorn Lomborg, April 2017
The climate impact of all Paris INDC promises is minuscule: if we measure the impact of every nation fulfilling every promise by 2030, the total temperature reduction will be 0.048°C (0.086°F) by 2100.
Even if we assume that these promises would be extended for another 70 years, there is still little impact: if every nation fulfills every promise by 2030, and continues to fulfill these promises faithfully until the end of the century, and there is no ‘CO₂ leakage’ to non-committed nations, the entirety of the Paris promises will reduce temperature rises by just 0.17°C (0.306°F) by 2100.
By Kenneth Richard , April 2017
According to a new paper, the Bølling Warming event 14,700 years ago raised the surface temperature for the entire Northern Hemisphere by 4 to 5°C within a few decades. This is a hemispheric warming rate of approximately 2.0°C per decade, which is 40 times faster than the 0.05 °C per decade global warming rate since 1850 (and 1998).
by Ron Clutz, April 5, 2017
The recent El Nino is cooling down as shown clearly in both sea surface temperatures and lower troposphere air temperatures. The two relevant data sets are UAH v.6 and HadSSTv3.1 now provide averages for the month of March 2017.
by Dr JP Wallace III et al., August 2016
These analysis results would appear to leave very, very little doubt but that EPA’s claim of a Tropical Hot Spot (THS), caused by rising atmospheric CO2 levels, simply does not exist in the real world. Also critically important, even on an all-other-things- equal basis, this analysis failed to find that the steadily rising Atmospheric CO2 Concentrations have had a statistically significant impact on any of the 13 critically important temperature time series analyzed.
by Kenneth Richard, March 20, 2017
According to an estimate of global sea surface temperature (SST) changes during the last 2,000 years (“Robust global ocean cooling trend for the pre-industrial Common Era“), the addition of the last 2 centuries (1800 to 2000 C.E.) of relatively modest SST warming only changes the overall per-millennium global cooling trend (~0.4°C) by one tenth of one degree. In other words, using a long-term perspective, the Holocene cooling trend has continued largely uninterrupted during the last two centuries.
During the ice ages, an unidentified regulatory mechanism prevented atmospheric carbon dioxide concentrations from falling below a level that could have led to runaway cooling, reports a team of researchers. The study suggests the mechanism may have involved the biosphere, as plants and plankton struggled to grow under very low carbon dioxide levels.
Met Office, UK, 2017
Select the information below to view the actual graphs showing variation for the month, season or year for the selected country. Graphs are from 1910 for temperature and rainfall and 1929 for sunshine.
Don J. Easterbrook, 2011
Department of Geology, Western Washington University, Bellingham, WA 98225, USA
Temperatures have risen approximately a degree or so per century since the coldest part of the Little Ice Age ~500 years ago, but the rise has not been linear. Global temperatures have warmed and cooled many times in 25-35-year cycles, well before the atmospheric CO2 began to rise significantly.
Two episodes of global warming and two episodes of global cooling occurred during the 20th century (Fig. 1). Overall, temperatures during the century rose about the same as the rate of warming per century since the Little Ice Age 500 years ago.
par D. Swingedouw et al., CNRS, 15 février 2017
Dans le cadre du projet européen EMBRACE, une équipe d’océanographes a réexaminé ces 40 projections climatiques en se focalisant sur un point névralgique au nord-ouest de l’Atlantique Nord : la mer du Labrador. Cette mer est le siège d’un phénomène de convection, qui nourrit à plus grande échelle la circulation océanique de retournement. Ses eaux de surface se refroidissent fortement en hiver, deviennent plus denses que les eaux de profondeur et plongent vers le fond. La chaleur des eaux profondes est transférée vers la surface et empêche la formation de banquise
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by Ph.F. Sexton et al., Nature, 2011
‘Hyperthermals’ are intervals of rapid, pronounced global warming known from six episodes within the Palaeocene and Eocene epochs (~65–34 million years (Myr) ago)1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13. The most extreme hyperthermal was the ~170 thousand year (kyr) interval2 of 5–7 °C global warming3 during the Palaeocene–Eocene Thermal Maximum (PETM, 56 Myr ago). The PETM is widely attributed to massive release of greenhouse gases from buried sedimentary carbon reservoirs1, 3, 6, 11, 14, 15, 16, 17, and other, comparatively modest, hyperthermals have also been linked to the release of sedimentary carbon3, 6, 11, 16, 17
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Egalement, une synthèse en français
John Turner et al., Nature, July 2016
Here we use a stacked temperature record to show an absence of regional warming since the late 1990s. The annual mean temperature has decreased at a statistically significant rate, with the most rapid cooling during the Austral summer. Temperatures have decreased as a consequence of a greater frequency of cold, east-to-southeasterly winds, resulting from more cyclonic conditions in the northern Weddell Sea associated with a strengthening mid-latitude jet.
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Benoît Rittaud, 9 février 2017, Université Paris-13
La nouvelle affaire sur le front du climat prend de l’ampleur. Puisqu’il ne faut certainement pas compter sur un compte-rendu loyal par les grands médias français, voici ce qui, je crois, peut en être dit quatre jours après son déclenchement. L’affaire étant susceptible d’avoir des retentissements importants, j’ai choisi de faire un point complet, qui reprend tout depuis le début.
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Mark Imisides, December 07, 2009
Carbon dioxide, we are told, traps heat that has been irradiated by the oceans, and this warms the oceans and melts the polar ice caps. While this seems a plausible proposition at first glance, when one actually examines it closely a major flaw emerges.
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The University of Alabama in Hunstville
Depuis les années 70 des satellites mesurent la température de notre planète sur toute sa surface. Les valeurs reportées par le ‘Earth System Science Center’ sont considérées comme les seules scientifiquement valables.
The Alabama State Climatologist : provides climate data and research for the state and for the world
Prof. (émer.) Dr. Ir. Henri A. Masson, Décembre 2016
Le contexte
Depuis plusieurs décennies maintenant, un débat intense a lieu autour de ce qu’il convient d’appeler la « controverse climatique » : les émissions de gaz à effet de serre anthropiques ont-elles une influence significative sur le « réchauffement-changement-dérèglement » climatique ? Cette controverse secoue le petit monde scientifique de la climatologie, chacune des parties affublant, au passage, l’autre d’épithètes injurieux, les « réchauffistes-alarmistes » s’opposant aux « charlatans-climato-sceptiques-négationnistes ».
La querelle serait anecdotique, si le monde politique ne s’était emparé du sujet et n’avait décidé, dans la précipitation (et souvent suite à un lobbying intense des partis écologiques monnayant ainsi leur participation à un gouvernement de coalition) d’imposer diverses « taxes carbone » et autres « outils de marché », permettant ainsi de distribuer de généreux subsides aux installations d’énergies dites renouvelables, ainsi qu’aux recherches visant à démontrer l’existence d’un effet de serre (anthropique) significatif dans l’atmosphère et de « prédire –projeter » son importance sur le siècle à venir. Sans oublier les contributions énormes promises par les pays développés à un « Fond Vert », censé les distribuer généreusement aux pays en voie de développement, officiellement pour leur permettre de contribuer à « sauver la planète », mais, en réalité, au nom d’une certaine compensation du « pillage colonial des ressources naturelles » commis par ces pays développés, au cours des siècles précédents.
Tout cela a évidemment un prix pour le citoyen lambda des pays développés : taxes supplémentaires, augmentation de la facture énergétique et des frais de transport, diversion d’une partie du budget de l’Etat, au détriment d’autres fonctions qui pourraient s’avérer plus urgentes et importantes. Ces mesures s’avèrent aussi profondément anti-sociales car elles affectent plus lourdement les ménages aux revenus les plus modestes, pour lesquels la facture énergétique et les frais de transport représentent une part plus importante de leur budget. Certains ménages se trouvent ainsi réduits à choisir entre ne pas chauffer leur habitation ou devoir rogner sur les budgets de nourriture et de soins. A l’usage, il est aussi apparu difficile de rationaliser-quantifier-comparer ces mesures en faisant usage d’un critère de « coût social du carbone », les méthodes d’analyse par coûts-bénéfices qui sous-tendent cette approche donnant des résultats aussi divergents que contestables.
Enfin, par nature, la plupart des énergies dites renouvelables (éolien, solaire, hydraulique) sont intermittentes et, si elles contribuent significativement au « mix énergétique », elles doivent donc impérativement être doublées par des unités d’appoint (nucléaires ou utilisant des combustibles fossiles), afin d’éviter des « black-outs » qui sans cela seraient inévitables. Ces unités d’appoint voient leur rentabilité affectée, car elles tournent forcément elles-mêmes de façon intermittente, étant utilisées uniquement pour compenser les carences des énergies renouvelables, alors qu’elles, elles pourraient parfaitement fonctionner en continu. Il faut encore tenir compte des nombreuses lignes électriques à tirer et des transformateurs à installer pour connecter au réseau les installations d’énergie renouvelable, dispersées et de puissance individuelle négligeable par rapport à la puissance d’une centrale conventionnelle. Il faut enfin tenir compte de la complexité de gestion d’un réseau sur lequel viennent se connecter un grand nombre de sources électriques intermittentes et relativement imprédictibles même à court terme. Tout cela fait littéralement « exploser » le coût de l’électricité.
Les bonnes questions à se poser
Certaines questions relatives à la controverse climatique ont trouvé un large écho dans les médias et ont déjà été largement débattues, dans la littérature (éventuellement ‘peer reviewed’) et sur des blogs spécialisés (sans qu’un réel consensus n’ait été trouvé entre les parties, jusqu’à présent) :
D’autres questions sont tellement complexes qu’elles n’ont pas encore reçu de réponse convaincante, à ce jour (« the science is NOT settled »)
Enfin, certaines questions se rapportant aux méthodes de recherche et de consolidation de données utilisées en climatologie n’ont pas été abordées avec suffisamment d’attention et d’esprit critique, et méritent qu’on s’y attarde quelque peu :
La présentation faite par Henri Masson à la Contre-Cop 22 qui s’est tenue à Paris, début décembre 2016, sous l’égide de l’Association des Climato-Réalistes, apporte quelques éléments de réponse aux questions regroupées dans cette troisième catégorie.
The December 2016 global temperature anomaly from the average of two analysis is 0.20 °C above the average of 1981 – 2010. The large El Niño event is over and we wait to see if it will be followed by a La Niña event. The satellite measured temperature of the lower troposphere to the end of 2016 from the average of the University of Alabama in Huntsville and Remote Sensing Systems analysis is here. The temperature trend from December 1997 to December 2016 is 0.045 ± 0.043 °C/decade at the 95% confidence interval. The slope could be as low as 0.002 °C/decade. According to the satellite data, 2016 was a statistically insignificant 0.02 °C warmer than 1998, which was another strong El Niño year.
Roy Spencer, Ph.D., climatologist, former NASA scientist
January 3rd, 2017
The resulting 2016 annual average global temperature anomaly is +0.50 deg. C, which is (a statistically insignificant) 0.02 deg. C warmer than 1998 at +0.48 deg. C. We estimate that 2016 would have had to be 0.10 C warmer than 1998 to be significantly different at the 95% confidence level. Both 2016 and 1998 were strong El Nino years.