by JoNova, April 2017
The Arctic is the most sensitive place to man-made emissions on Earth, which is why it has barely warmed since 1944? Well, it makes sense if CO2 is largely irrelevant. Humans have made 90% of all their CO2 in the last 70 years and nothing much happened in the place where it was supposed to hurt the most.
by P. Gosselin, April 8, 2017
Looking at data objectively, it is pretty clear that there is little relationship between weather/climate and the rising CO2 concentrations in the atmosphere, as the global warming pause between 1997-2016 shows –
Usbek, 13 avril 2017
L’acidification n’est pas une simple réponse statique à l’augmentation de la concentration de CO2 dans l’atmosphère : c’est la résultante de processus biologiques et physico-chimiques qui entraînent une répartition inégale du carbone sur la verticale de l’océan. D’autre part la vie océanique a survécu à des niveaux beaucoup plus élevés de CO2 depuis des millions d’années dans le passé.
by Eghbert Elvan Ampou et al., 2017
The clear link between mortality and sea level fall also calls for a refinement of the hierarchy of El Niño impacts and their consequences on coral reefs.
by planete energies, 03 février 2016
L’ Agence Internationale de l’Énergie (AIE) a élaboré plusieurs scénarios de l’évolution prévisible du mix énergétique d’ici 2035. Le scénario moyen (« New policies scenario ») met en évidence l’augmentation de la demande en énergie primaire, qui passe de 13 000 Mtep en 2011 à 17 400 en 2035. La part des énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) restera largement dominante : elle passerait de 81 % en 2011 à 76 % en 2035. Les énergies renouvelables (y compris hydraulique et biomasse) seront en croissance : de 13 % en 2011 à 18 % en 2035
La géologie, une science plus que passionnante … et diverse