19 Papers Published In 2019 Affirm Sea Levels Were METERS Higher Than Today 4-8 Thousand Years Ago

by K. Richard, January 16, 2020 in NoTricksZone


The onslaught of paleoclimate evidence for warmer-than-now Mid-Holocene climates – when the Earth’s sea levels were meters higher than they are today –  stormed through 2019.

There were 107 scientific papers published this past year indicating today’s warmth isn’t even close to being unusual or unprecedented when compared to the climates of the last centuries to millennia.

As illustrated below, there were also 19 papers affirming today’s sea levels are among the lowest of the last ~8000 years.

This is added to the list of nearly 100 scientific papers published in the last handful of years indicating Mid-Holocene sea levels were multiple meters higher than they are today due to the much more extensive glacier and ice sheet melt occuring during these millennia.

Throwing More Cold Water On An Alarmist Ocean-Warming Paper

by Dr. D. Whitehouse, January 17, 2020 in ClimateChangeDispatch


It’s the usual story. It’s the beginning of the year and the statistics of the previous year are hurriedly collected to tell the story of the ongoing climate crisis.

First off, we have the oceans which, according to some, are living up to the apocalyptic narrative better than the atmosphere.

The atmosphere is complicated, subjected to natural variabilities, that make the temperature increase open to too much interpretation.

The oceans, however, are far more important than the air as they absorb most of the anthropogenic excess heat.

Looking at the literature reveals no one knows just how much excess heat (created in the atmosphere) it mops up or indeed exactly how or where it does it. Some say it is 60% which is a bit on the low side, most say 90% or 93%.

The real figure is unknown though it should be noted that a few percent errors translate to a lot of energy, about the same amount that is causing all the concern.

On 14 January the Guardian had the headline, “Ocean temperatures hit record high as the rate of heating accelerates.” The study that reached this conclusion was published in the journal Advances in Atmospheric Sciences.

It’s a badly written paper full of self-justifying statements and unwarranted assumptions that should have been stripped-out by the editor.

 

Also : Ocean Warming: Not As Simple As Headlines Say

Les Feux en Australie : la réalité des faits et rien d’autre…

by Yannick Colleu, 17 janvier 2020 in ScienceClimatEnergie


Les feux de brousse en Australie font la une des journaux écrits et audiovisuels. Ces annonces sont reprises par les réseaux sociaux.
La vérité médiatique est maintenant bien établie, ces feux sont l’œuvre du dérèglement climatique. Ces catastrophes humaine et écologique présagent, selon les réseaux dits sociaux, la fin du Monde annoncée par les « experts » du GIEC.

A ma connaissance pas un seul journaliste ne semble s’être penché sur le sujet. Du moins aucune autre conclusion, quant aux causes de cette catastrophe, n’a été, à ma connaissance, publiée sinon pour pointer le changement climatique comme seul et unique coupable.

Pourtant la réponse est moins évidente.

Il est de notoriété publique que l’Australie est un pays coutumier des sécheresses et des températures extrêmes. En outre c’est un pays quasi désertique de 7,7 millions de km² peuplé d’à peine 25 millions d’habitants principalement implantés dans les grandes villes de la côte Est et dans la principale métropole de l’Ouest.

Après les gigantesques feux de brousse de janvier à mars 1961 en Australie occidentale les réflexions sur les actions de prévention conduisaient à préconiser l’usage de feux déclenchés/contrôlés pour maîtriser la végétation à l’approche de la saison sèche. Cette technique permet en effet de créer des coupe-feux et de limiter la matière inflammable qui nourrit les brasiers.

Cette politique préventive a longtemps porté ses fruits, réduisant considérablement les incendies et surtout leur propagation. Néanmoins les chantres de la lutte contre le réchauffement et le CO2 ont poussé le gouvernement australien à changer de politique il y a une dizaine d’années (par exemple ici et ici).

La politique actuelle ne privilégie plus l’anticipation du risque d’incendie mais préconise de laisser les incendies se propager et de ne défendre autant faire se peut que les habitations et les vies humaines.
De fait la végétation n’est plus façonnée par l’homme pour limiter les risques de propagation et celle-ci offre dès lors un combustible abondant au moindre foyer qui se développe.

Le graphique ci-dessous fournit par l’association Bushfire Front Inc (BFF) de l’État d’Australie occidentale révèle l’impact que cet abandon d’une politique de prévention sur les feux de brousse sur la période 1950-2017.

En vert : surface de feux déclenchés.
En rouge : surface de feux de brousse

 

Source : https://www.bushfirefront.org.au/prescribed-burning/why-prescribed-burning/
Légende : La zone d’incendie contrôlé (réduction de ‘carburant’) est indiquée en vert et la zone des feux de brousse (feux de forêt) en rouge. Les pics causés par désastreuse saison des incendies de 1961 et les grands feux de brousse de ces dernières années sont clairement visibles.