Negative CO2 Emissions

by Kevin Kilty, January 24, 2020 in WUWT


An article in the January 2020 Issue of Physics Today (1) presents an interesting and very readable overview of methods to capture and store away CO2 emissions. The purpose of this guest blog is to summarize a few key points the paper makes, and add some commentary. WUWT has covered some of this same territory recently here and here.

Motivation

Of course, the motivation for negative emissions technologies (NETs), or CO2 capture, is to bring atmospheric CO2 back to safe levels. Although the article fails to mention what safe means in this context, and what levels are unsafe, it alludes to melting polar ice and methane escaping from melting permafrost as consequences of unsafe climate. Nothing unusual here. Despite relegating its case for an unsafe future to such enterprises as the IPCC, the article does provide some insight into the cause of what seems to be the current “crisis” mentality. It is 1.5°C temperature rise goal of the 2015 Paris agreement. As readers of WUWT already know, this is not a 1.5°C increase from now, but rather from an estimated pre-industrial level — meaning that two-thirds of that margin is already gone and we have but 0.5°C left to work with. I suspect most people do not understand this subtle point.

Eventually the article makes a brief excursion into more phenomena by which climate change would become unsafe — forest fires, droughts, and sea level rise. All of this is also familiar to WUWT readers.


Technologies Involved

Why The Current Interglacial Might Be Coming To An End

by W. Jones, January 22, 2020 in ClimateChangeDispatch


Did you know that over the last 450,000 years there have been four Ice Ages lasting around 100,000 years each?

And five interglacial periods lasting around 12,000 years each?

Look at this graph of temperature data derived from the Vostok ice core from Antarctica.

 

What it means is that for around 90 percent of the last 450,000 years Earth has been in an Ice Age, where global temperatures have slumped to as low as 10 deg C colder than in the relatively brief interglacial periods.

The current interglacial period (the fifth) began about 11,600 years ago, suggesting it may not last much longer. It corresponds to the time when human beings began farming and building cities and civilizations.

It is notably cooler than the previous four interglacial periods. If we ‘zoom in’ on it (see the upper graph, below)

Des réchauffements répétitifs sans CO2 ?

by P. Berth & A. Préat, 24 janvier 2020 in ScienceClimatEnergie


Depuis le début des mesures thermométriques directes, les 4 principales séries de température  que nous possédons (thermomètres terrestres et satellites) nous montrent que la température globale de la basse troposphère a augmenté de ± 0,8°C en 138 ans (entre 1880 et 2018). Cela correspond à ± 0,28°C en 50 ans soit 0,006°C/an(actuellement environ 0,01°C/an pour les 30 dernières années). Les médias nous rappellent chaque jour que cette hausse est exceptionnelle et que le CO2 anthropique en est à l’origine, c’est-à-dire est le grand coupable suivant la terminologie consacrée.

Mais cette vitesse d’augmentation de la température, est-elle vraiment exceptionnelle? Dans les lignes qui suivent, nous allons vous démontrer qu’il n’en est rien. Au cours de la dernière période glaciaire, alors que l’espèce humaine existait déjà, la température moyenne a parfois augmenté à une vitesse vingt fois plus élevée, et ce à de nombreuses reprises. Ces phénomènes particuliers, qui n’ont pas fait disparaître la vie sur Terre, et que nous vous avions déjà mentionnés sur SCE (ici), sont appelés évènements de Dansgaard-Oeschger ou ‘DO’ (des noms des deux scientifiques -danois et suisse-  qui furent les premiers à les mettre en évidence) et sont reconnus par le GIEC. Comme nous allons vous le montrer dans le présent article, le taux de CO2 n’aurait qu’un rôle mineur dans ces évènements.

Figure 1. Stratigraphie isotopique de l’oxygène à partir des glaces du forage GRIP (Groenland).
En ordonnée valeurs du δ
18O en ‰ et en abscisse profondeur en mètres du forage (Cronin, 2010). Les compositions isotopiques de l’oxygène sont un indicateur de la température. La figure montre de manière très claire que l’interglaciaire actuel (Holocène, moitié gauche du graphique) est caractérisé par des fluctuations thermiques de faible amplitude (si l’on excepté un épisode plus froid vers 8,2 ka) alors que le Dernier Glaciaire (moitié droite du graphique) montre des changements climatiques fréquents, rapides et de grandes amplitudes (de 8°C à 16°C suivant les δ18O) enregistrés pas les événements ou ‘cycles’ DO (Dansgaard-Oeschger events). Nb: YD pour Younger Dryas, correspondant à un refroidissement il y a 12800 ans BP (non discuté dans cet article).