Quality Control Sorely Needed In Climate Science: Half Of Peer-Reviewed Results Non-Replicable, Flawed.

by K. Richard, November 8, 2018 in NoTricksZone


“A number of biases internal and external to the scientific community contribute to perpetuating the perception of ocean calamities in the absence of robust evidence.” Duarte et al., 2015

Within a matter of days after the press release for a newly published Nature paperspewed the usual it’s-worse-than-we-thought headlines throughout the alarmosphere (Washington Post, BBC, New York Times), the paper’s results were assessed to have “major problems” by an author of multiple CO2 climate sensitivity papers (Lewis and Curry, 2015, 2018).

A glaring miscalculation was quickly spotted that changed not only the results, but consequently undermined the conclusion that estimates of climate sensitivity to doubled CO2 may be too low.

And yet the paper was able to pass through peer review anyway.

Les réserves de pétrole ne s’épuiseront jamais… mais le problème n’est pas là !

by Samuel Furfari, 8 novembre 2018 in ConnaissancedesEnergies


Ça y est ! Le seuil de production de 100 millions de barils de pétrole par jour est désormais atteint. Il y a cinquante ans, on en consommait le tiers et c’est une perspective que beaucoup d’experts autoproclamés n’avaient pas envisagé. C’est une nouvelle occasion de répéter, à l’intention de ces « experts » et de ceux qui leur emboîtent le pas, qu’il est temps de cesser la rengaine de la fin du pétrole.

Bien que toutes les annonces passées relatives à la fin du pétrole aient été démenties par les faits, des semeurs de peur s’aventurent encore à lancer ces prévisions fantaisistes. S’ils le font, c’est parce que la peur fait vendre. Tout le monde y trouve son compte: le public reçoit sa dose d’adrénaline – même s’il se plaint du prix prohibitif de son plein de carburant – les auteurs perçoivent leurs droits, les éditeurs vendent des livres ou de la publicité sur leur site internet et des traders actifs à Genève profitent de la situation pour gagner, ne serait-ce que quelques cents en plus, sur les millions de barils de pétrole brut qu’ils négocient.