by Alan Longhurst, February 24, 2020 in WUWT
Recipe for Australia’s climate ‘truth bomb’: dubious manipulations of the historical temperature record, ignorance of the climate dynamics of the Southern Hemisphere, and ignorance of Australia’s ecological and social history.
A correspondent of The Guardian newspaper writes that her personal ‘climate truth bomb’ hit her while she was picking ash from her glass at a wine tasting event – the Sydney Harbour bridge being dimly seen through the murk of bushfires. The truth came to her, she wrote, in the eloquent rage of Greta Thunberg and also in heat, smoke and fire.
Although anthropogenic climate change sells well, especially at The Guardian, their Sydney correspondent cannot be so ignorant about the climate of Australia or about bushfires as she pretends. Put briefly, bushfires in Australia and elsewhere have two main sources: from thunderstorms or from human activity, deliberate or otherwise – cigarette butts, sparks from brakes on railway trains, from incautious welding on farm machinery and from electric transmission lines. In California, where almost 2 million acres burned in 2018 and claimed many lives, the electricity supply company now closes down its transmission lines in windy conditions to prevent sparking and fires.
As she should have known, climate change or not, that ash in The Guardian correspondent’s wine was very probably caused by the direct action of an Australian citizen. In the current drought, 36% of fires have been judged to be accidental, 37% as suspicious, 13% as deliberate and only 6% as natural. And that pattern is not new: Australia has a serious arson problem. “In short, up to 85 bushfires begin every day because someone leaves their house and decides to start one,” said Dr. P. Reid of the Australian Center for Research in Bushfires and Arson
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by M. de Rougemont, 25 février 2020 in EuropeanScientist
Dès lors que la moindre critique est faite à propos de la doxa climatique son auteur se verra systématiquement désigné comme négationniste. Si, par-dessus le marché, ladite critique est pleine de bon sens, alors des caciques de ce système s’empressent de publier une tribune publique afin de mettre l’intru au pilori, évitant bien d’entrer en matière et de traiter des questions posées. Il s’agit de bien rappeler qui a droit à la parole et de rappeler aux non-sachants que le débat est clos car la cause est entendue. Un bizarre syndicat international de presse dictant la bien-pensance climatique a d’ailleurs décidé que laisser s’exprimer des voix critiques serait leur faire une part trop belle. La célérité et le ton de ces répliques témoignent pourtant d’une grande inquiétude car faire taire l’intrus n’a jamais été une manifestation de force et de tranquillité. Cela laisse même à penser que s’il y avait complot, ce serait plutôt celui destiné à éviter à tout prix la nécessaire dispute autour d’un sujet si important.
Nonobstant la clôture bien prématurée de ce débat jamais initié, il faut en décrire les chapitres qui devraient le composer. Ce drame climatique se déroule sur trois scènes : scientifique, stratégique et politique.
SCIENCE ET PSEUDO-SCIENCE
Les données issues de moins de deux siècles d’observations directes, dont moins de cinquante ans par satellite, et de la paléoclimatologie nous enseignent les variations passées et certaines corrélations ou manques de corrélation. Ces données ne font pas l’objet de réfutations majeures et fondées. Un réchauffement est donc bien constaté depuis la fin du petit âge glaciaire coïncidant avec le début de l’ère industrielle ; il est de l’ordre de 0.8 à 1 °C avec des fluctuations dont certaines restent encore inexpliquées.
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by K. Richard, February 14, 2020 in NoTricksZone
From 2008 to 2016 a widespread cooling ranging from 0.6°C to more than 2.0°C has chilled effectively the entire oceanic region from E. Canada to N. Iceland to S. Europe. The cooling persists year-round and extends from the surface down to depths of 800 m.
A year ago scientists revealed a large swath of the North Atlantic surface had cooled at a rate of -0.78°C per decade between 2004 and 2017 (Fröb et al., 2019).
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La géologie, une science plus que passionnante … et diverse
