Extensively-Referenced Study Of Past Scientists’ Global Temperature Estimates Suggests ‘No Change’ In 100 Years

by K. Richard, August 13, 2020 in NoTricksZone


In the early 1900s, the globally-averaged distribution of calculated surface temperature estimates ranged between 14 and 15°C. For 1991-2018, HadCRUT, Berkeley, and NASA GISS also estimate today’s global temperature is about 14.5°C.

Scientists estimating Earth’s surface temperature has been an ongoing pursuit since the early 19th century.

A new study (Kramm et al., 2020) suggests the generally agreed-upon global temperature from 1877 to 1913 from dozens of calculated results was about 14.4°C.

Problematically, HadCRUT, Berkley, and NASA GISS also indicate the 1991-2018 had a global surface temperature of about 14.5°C.

This would suggest there has been “no change in the globally averaged near-surface temperature over the past 100 years”.

Claim: Past evidence supports complete loss of Arctic sea-ice by 2035

by BRITISH ANTARCTIC SURVEY, August 3, 2020 in WUWT/Ch. Rotter


A new study, published this week in the journal Nature Climate Change, supports predictions that the Arctic could be free of sea ice by 2035.

BRITISH ANTARCTIC SURVEY

A new study, published this week in the journal Nature Climate Change, supports predictions that the Arctic could be free of sea ice by 2035.

High temperatures in the Arctic during the last interglacial – the warm period around 127,000 years ago – have puzzled scientists for decades. Now the UK Met Office’s Hadley Centre climate model has enabled an international team of researchers to compare Arctic sea ice conditions during the last interglacial with present day. Their findings are important for improving predictions of future sea ice change.

During spring and early summer, shallow pools of water form on the surface of Arctic sea-ice. These ‘melt ponds’ are important for how much sunlight is absorbed by the ice and how much is reflected back into space. The new Hadley Centre model is the UK’s most advanced physical representation of the Earth’s climate and a critical tool for climate research and incorporates sea-ice and melt ponds.

Using the model to look at Arctic sea ice during the last interglacial, the team concludes that the impact of intense springtime sunshine created many melt ponds, which played a crucial role in sea-ice melt. A simulation of the future using the same model indicates that the Arctic may become sea ice-free by 2035.

Joint lead author Dr Maria Vittoria Guarino, Earth System Modeller at British Antarctic Survey (BAS), says:

“High temperatures in the Arctic have puzzled scientists for decades. …

The Tyranny Of Global Warmists Is Worse Than You Think

by D. Solway, August 11, 2020 in ClimateChangeDispatch


“The more one has paid for a forgery, the more one defends it in the face of all the evidence to the contrary,” writes John Le Carré in his novel about espionage and deception, Smiley’s People.

This certainly seems to be the case with the four major weather-tracking agencies: the Hadley Climate Research Unit in Britain, the Christy group at the University of Alabama, the Remote Sensing Systems Inc. in California, and the NASA Goddard Institute for Space Studies in New York (NASA GISS).

In a previous article for The Pipeline, I examined the malfeasance of the influential Hadley Climate Research Unit at the University of East Anglia in Norwich, where two major email dumps (aka “Climategate”) showed the outfit’s determined efforts to fudge the data, suppress unfavorable results and eliminate dissenting voices.

This should have put the “global warming” farce to bed once and for all, but the deception shows no sign of abating.

Le 20ème siècle a été anormalement chaud mais le 21ème siècle revient à la normale (1/2)

by Jean Van Vliet, 14 août 2020, in ScienceClimatEnergie


Introduction

Suite à la prise de conscience à la fin du 20ème siècle d’une hausse inhabituelle des températures terrestres, des chercheurs américains ont développé une théorie du réchauffement global basé sur l’effet de serre dû au CO2 [1], en soulignant la responsabilité possible de l’homme dans le réchauffement observé: la poursuite des émissions de CO2 conduirait à une éventuelle catastrophe planétaire. Ces  chercheurs ont présenté leur théorie au Congrès américain [2] et aux médias. Le monde politique international a réagi rapidement à cet alarmisme [3] en permettant à Assemblée Générale de l’ONU de décembre 1988 d’approuver la mise en place du GIEC [4].

Depuis plus de trente ans et malgré le manque persistant de preuve formelle, la peur du réchauffement global anthropique causé par le CO2 est propagée sans relâche par l’ONU et ses satellites PNUE, GIEC et OMM relayés par les ONG environnementales et les médias, suivis plus récemment par une fraction du monde académique occidental. Une puissante industrie des énergies renouvelables a été créée via des subsides et des certificats verts quitte à doubler ou tripler le prix de l’électricité. Cette industrie est prête à exploiter les nouvelles aubaines financières annoncées par l’Accord de Paris et le Green Deal de l’UE. Dans un tel contexte, le but avoué est que l’humanité change radicalement son comportement, fût-ce au prix d’une dictature environnementale: l’alarmisme médiatique est maximal, et même les enfants sont embrigadés dans le débat pour soi-disant “sauver la planète”.

Cette tentative rampante de prise du pouvoir a cependant buté contre un obstacle imprévu depuis le début de 2020, à savoir la pandémie du Coronavirus: le lockdown sanitaire a montré que la société pouvait changer son comportement de manière spectaculaire, mais au prix de conséquences économiques et sociales majeures. A la première attaque de la pandémie succède aujourd’hui une deuxième vague et il semble impossible de prévoir quand nous serons délivrés du virus.

Les ressources des Etats n’étant pas infinies, la question brûlante se pose aujourd’hui  de l’affectation des moyens humains et financiers disponibles en fonction nos priorités: devons-nous avoir davantage peur d’une pandémie et de ses conséquences sociales et économiques incontestables ou devons-nous supputer une explosion incontrôlable de la crise climatique amorcée au 20ème siècle et modifiant de manière drastique et irréversible notre environnement ?

Le but du présent article est d’apporter des éléments de réponse à cette question en examinant, dans une perspective scientifique large et basée sur les observations plutôt que sur les modèles, la “crise climatique” démarrée durant la seconde moitié du 20ème siècle en essayant de tirer des conclusions applicables au 21èmesiècle.

1/ La crise ‘climatique du 20ème siècle

Il existe de nombreuses sources fournissant des historiques de température, mais il existe peu de séries chronologiques comparables à celle de l’Observatoire d’Armagh en Irlande du Nord pour la période 1796-2002 [5]; cette série est disponible sur le site web du Met Office britannique pour la période allant de 2002 à aujourd’hui [6].

Figure 1 : Evolution des températures moyennes annuelles de 1796 à 2019 (courbe bleue) ainsi qu’une courbe lissée correspondant à la moyenne glissante rétrospective sur une période de 11 ans (courbe rouge).